Presse
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<DANSER canal historique> par Gérard Mayen
C'est peu de dire que ce danseur et chorégraphe administre une impressionnante leçon de puissance chorégraphique, dans son solo Strange Fruit.(...) Comment exprimer la violence glaçante de cette situation, creusée au vif d'une illusion de mesure maîtrisée. La blessure du monde se dit tout entière sous les pas du danseur...
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< L'imprimerie nocturne > par Alice bertrand
Une onde de choc pour Strange fruit d'Emmanuel Eggermont (...) Ce solo fait d’élégance et de destruction nous emmène vers une réflexion intime sur toutes les formes de xénophobie
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< Zone-s.fr > par Erwan Tanguy
Ce travail magnifique dévoile une finesse et une intelligence du corps et du plateau qui enchantent et qui nous laissent aussi abasourdi
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< Lille La Nuit - Live-report > par Agathe Coquerelle
Le geste est simple et le regard impassible, pourtant Emmanuel Eggermont dégage une force d'expression saisissante. (...) Emmanuel Eggermont met son art au service d'une lutte, celle du racisme. Magnétique et sans artificialité le chorégraphe rentre au cœur d'un sujet auquel toutes les époques sont encore concernées.
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< DNA,Dernières Nouvelles d’Alsace> par Veneranda Paladino
Recroquevillé, le corps se pose tel un oiseau, léger, aérien équilibré par des bras en tension, il fouille la mémoire, l’espace et le temps. (…) Comme la célèbre chanson de Billie Holiday, Strange fruit d’Emmanuel Eggermont imprègne durablement nos perceptions rétiniennes.
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< Danser canal historique > par Agnès Izrine
Déployant cette gestuelle surprenante dans le Jardin qui semble presque trop petit pour ce grand corps dont les membres semblent occuper la majeure partie de l’espace, il produit une sorte de supplément au texte qui le complexifie, éloignant la frontière entre l’homme et l’animal par sa danse aux articulations inédites, posant la disparition et l’oubli dans sa façon de se mouvoir, découvrant d’une certaine manière la faille qui nous constitue.
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< Inferno -magazine.com> par Smaranda Olcèse
Protocoles minimalistes qui agencent des textures et des matièes et dessinent des relations ténues entre les corps, les sons, les objets. Espaces foncièement mouvants, équilibres fragiles qui regardent aussi bien du côté du chaos que de la plénitude. La danse d’Emmanuel Eggermont affirme plus que jamais, avec Vorspiel, sa vocation pour un crucial partage du sensible.
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< DNA, Dernières Nouvelles d’Alsace > par Veneranda Paladino
Sans céder aux injonctions extérieures, Emmanuel Eggermont est l'un des rares chorégraphes à redéfinir les formes en profondeur. L'artiste suit une voie unique. Qui n'est pas solitaire mais solaire et tendue vers l'essence. Devenue essentielle.
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< Ballet-Tanz > par Katja Schneider
Eggermont domine aujourd'hui de façon magistrale le jeu des regards, des gestes minimaux et des angles placés avec exactitude...
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< The New-York Times > by ROSLYN SULCAS
Mr.Eggermont, a dancer of remarkable interiority and focus, brings a breathtaking precision and discipline to his performance...
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< Tanz > par Thomas Hahn
Au Centre National de la Danse de Paris Emmanuel Eggermont franchit en toute douceur le pas du danseur vers le chorégraphe. Actuellement, Eggermont voyage dans la zone démilitarisée entre la Corée du Nord et la Corée du Sud dans l’objectif de s’imprégner des tensions , telles que dans le « Stalker » d’Andrei Tarkowskis dans le no mans land…
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< Paris-art > par Céline Piettre
Créée en résidence au CND, T-Wall est la dernière création d'Emmanuel Eggermont. La pièce, intense et supérieurement interprétée (le mot est faible!), inscrit son auteur dans l'héritage formel de Raimund Hoghe, et par là même, des chorégraphes qui comptent...
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< Mezetulle > par Catherine Kintzler
Cette pièce évolue dans une sorte d’étouffement, paradoxalement obtenu par une danse, une vraie danse, agile, souple, souvent fluide… J’ai constamment pensé à l’un des plus beaux alexandrins de la poésie de langue française écrit par Mallarmé : « Le transparent glacier des vols qui n’ont pas fui. ».